Petit plaisir du graveur : chiner de vieilles plaques photogravées au Vieux Marché. A l’époque le cliché typo coûtait cher et on réfléchissait à deux fois avant de le bazarder. On se console des prix pratiqués par ces forbans (l’exil fiscal français bohème n’y est pas étranger) en se disant qu’on les intégrera à son propre travail, ce qu’on ne fait évidemment jamais.
Tout à fait récupérables au rouleau (ça bouche un peu, il faut avoir la main légère sur l’encrier) : photos de mode, pavés de presse, planche archéologique ancienne, illustrations scientifiques, sigles de compagnies aériennes 1970s, etc. Pensez à moi quand vous en voyez en brocante.












